En arrivant là, j'ai donc mis le cap sur la partie nord du réseau de sentiers du mont Castor.
Dans ce secteur, les sentiers 3, 3L et 4 descendent le flanc nord de la colline en perdant une cinquantaine de mètres d'altitude.
Avant de descendre là-dedans, il fallait bien que je commence par grimper dans la colline. J'ai fait ça par le sentier 4 qui monte son flanc sud en décrivant des lacets.
En arrivant en haut, j'ai eu la surprise de découvrir un drôle d'abri de fortune où j'ai laissé mon sac à dos avant de partir à la chasse aux descentes.
J'ai d'abord tenté ma chance sur
le sentier 3L. La descente que j'ai faite de ce côté-là a bien commencé
dans un «champ de neige» plein de potentiel... mais plus loin, j'ai dû
négocié du terrain plus chaotique et moins agréable.
Sentier partagé avec les raquetteurs, mais quand même très skiable. |
L'abri où mon sac à dos a campé pendant que je chassais la descente. |
Heureusement, j'ai trouvé bien meilleur terrain de jeu en descendant par les sentiers 3 et 4. Ces deux sentiers nous jettent dans le même sous-bois naturel court encaissé dans une cuvette peu profonde.
Un peu court, mais vraiment le fun. Voilà comment je vous décrirais ce sous-bois où j'ai longtemps fait un yoyo de moi-même.
Il y avait quelques traces de raquettes dans cette pente, mais personne ne l'avait skiée depuis la dernière bordée. Alors j'ai pu multiplié les descentes dans la belle neige vierge.
Quand j'en ai eu assez du sous-bois, je suis reparti par où j'étais venu et j'ai fait une belle petite descente agréable sur le flanc sud de la colline en dévalant le sentier 4.
Aucun doute: le sous-bois où j'ai passé le plus clair de mon après-midi compte parmi les principales attractions du réseau de sentiers du mont Castor. Un réseau qui, pour l'instant, est ma découverte de l'année.
Le sous-bois sauvage ressemblait à ça quand j'ai commencé à faire des descentes dedans. |
Deux de mes plus belles lignes de descente. |
Une carte des sentiers sur laquelle manque une des deux branches de la piste 3. |
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