La plupart des frigos belges sont remplis de
bières, mais aujourd’hui j’en ai visité un qui accueille plutôt les skieurs.
En vacances près d’Anvers, dans le nord de la Belgique, je n’ai pas pu résister à l’appel d’Aspen, un centre de ski intérieur où on peut skier et plancher à longueur d’année dans un immense frigo où il fait toujours cinq degrés sous zéro.
En vacances près d’Anvers, dans le nord de la Belgique, je n’ai pas pu résister à l’appel d’Aspen, un centre de ski intérieur où on peut skier et plancher à longueur d’année dans un immense frigo où il fait toujours cinq degrés sous zéro.
L’approche vers cette «montagne» se fait par la route puisqu’elle est située en périphérie d’Anvers ; et un peu avant d’arrivée, on a une vue saisissante sur notre destination.
Ce bâtiment incliné renferme une pente de ski
longue d’environ 240 mètres où on descend d’une cinquantaine de mètres sur de
la neige aussi éternelle qu’artificielle.
J’étais avec fiston et on s’est bien amusé à accumuler les descentes et les virages au mois de juillet, alors qu’il faisait plus de 20 degrés dehors.
Pour les gens de la place, je pense que je vais rester le «Canadien qui voulait absolument louer des skis de télémark». Heureusement, ils ont pu m’accommoder et, une fois habitué à mon matériel d’un jour, j’ai réussi des virages dont j’aurais été fier au mois de mars.
J’étais avec fiston et on s’est bien amusé à accumuler les descentes et les virages au mois de juillet, alors qu’il faisait plus de 20 degrés dehors.
Pour les gens de la place, je pense que je vais rester le «Canadien qui voulait absolument louer des skis de télémark». Heureusement, ils ont pu m’accommoder et, une fois habitué à mon matériel d’un jour, j’ai réussi des virages dont j’aurais été fier au mois de mars.
Fiston, lui, a un peu profité du snowpark installé
d’un côté de la piste… mais en respectant ma consigne de «s’arranger pour pas
se ramasser à l’hôpital dans un pays étranger».
Bien sûr, on peut se moquer des pauvres Belges qui n’ont rien d’autre à se mettre sous les skis même en plein cœur de l’hiver. Mais je suis quand même sorti de là en me disant que si on avait l’équivalent à Montréal, je ferais du ski une fois par semaine pendant tout l’été!
Oh que j'ai hâte à l'hiver prochain après cette interlude sur neige...
Bien sûr, on peut se moquer des pauvres Belges qui n’ont rien d’autre à se mettre sous les skis même en plein cœur de l’hiver. Mais je suis quand même sorti de là en me disant que si on avait l’équivalent à Montréal, je ferais du ski une fois par semaine pendant tout l’été!
Oh que j'ai hâte à l'hiver prochain après cette interlude sur neige...
2 commentaires:
Surprenant!
Malgré le fait que la Belgique ne me semble pas la contré du ski d'après ma géographie, que lorsque l'on met l'effort, on peut se donner le goût de faire quelque chose de bien. L'extérieur ne laisse pas présager de l'intérieur.
En prime un vélodrome à coté, bien sur on est au pays de Claude Criquielion . Dire qu'au Qc avec autant de moyen on en a fermé un beau intérieur ( à part bromont ) pour faire une fosse à pingouin .
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