Après notre sortie pénible au Mont Sutton, par une journée de conditions difficiles, mon fils et moi avions besoin de retomber en amour avec la glisse en
station ; et c’est exactement ce qui nous est arrivé aujourd’hui au Mont
Avalanche à Saint-Alphonse d’Howard.
Je n’ai pas encore vu toutes les stations des proches Laurentides. Mais parmi celles que j’ai visitées, j’ai eu deux vrais coups de cœur : Vallée Bleue à Val-David et le Mont Avalanche.
Les deux se ressemblent : on parle de petites stations familiales sans prétention, où on skie tranquille et où on s’amuse bien même si le dénivelé est modeste.
Au Mont Avalanche, fiston et moi avons trouvé presque tout ce qu’on aime : des pistes faciles étroites et sinueuses, des pistes difficiles en bon état toute la journée, des îlots boisés qu’on peut traverser en deux ou trois virages et un sous-bois abordable où on s’est souvent retrouvé dans la poudreuse vierge jusqu’au genou. Alors on a oublié le dénivelé de seulement 165 mètres en multipliant les descentes...
Seul point négatif : je ne me souviens pas d’avoir vu un remonte-pente s’arrêter aussi souvent que le télésiège à trois places du Mont Avalanche. Il faut dire qu’il n’est ni débrayable ni muni d’un tapis d’embarquement. Pas évident pour les novices…
Je n’ai pas encore vu toutes les stations des proches Laurentides. Mais parmi celles que j’ai visitées, j’ai eu deux vrais coups de cœur : Vallée Bleue à Val-David et le Mont Avalanche.
Les deux se ressemblent : on parle de petites stations familiales sans prétention, où on skie tranquille et où on s’amuse bien même si le dénivelé est modeste.
Au Mont Avalanche, fiston et moi avons trouvé presque tout ce qu’on aime : des pistes faciles étroites et sinueuses, des pistes difficiles en bon état toute la journée, des îlots boisés qu’on peut traverser en deux ou trois virages et un sous-bois abordable où on s’est souvent retrouvé dans la poudreuse vierge jusqu’au genou. Alors on a oublié le dénivelé de seulement 165 mètres en multipliant les descentes...
Seul point négatif : je ne me souviens pas d’avoir vu un remonte-pente s’arrêter aussi souvent que le télésiège à trois places du Mont Avalanche. Il faut dire qu’il n’est ni débrayable ni muni d’un tapis d’embarquement. Pas évident pour les novices…
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