Je m’étais mis dans la tête qu’il y avait du ski de randonnée et peut-être même un peu de télémark à faire dans le coteau de Terrebonne, l’élément de relief que longe la piste de ski de fond de la TransTerrebonne. Alors je me suis pointé là cet après-midi avec mes gros skis de randonnée pour tester l’idée.
Je suis parti de l’extrémité ouest de la TransTerrebonne, au parc de la Pommeraie, parce que c’est le secteur qui me paraissait avoir le meilleur potentiel de descente… même si le coteau offre à peine une trentaine de mètres de dénivellation.
Dans ce coin-là, la TransTerrebonne passe au bas du coteau et donne accès à plusieurs sentiers et petits chemins qui grimpent dedans et serpentent au sommet.
Donc, pour faire de la randonnée, pas de problème. On peut monter, descendre et explorer le plateau au sommet du coteau à notre guise.
Quant à faire des descentes… Disons que j’ai dévalé une douzaine de fois le coteau sans jamais vraiment triper une seule fois. Parfois, la pente était trop douce. Parfois, elle était trop courte. Et toujours, j’avais à peine le temps de faire deux ou trois virages.
J’ai fait mes meilleures descentes dans des sentiers
où personne n’avait passé depuis la dernière tempête et où je me laissais aller
doucement dans l’épaisse couche de poudreuse.
J’ai poussé mon exploration jusqu’à l’endroit où la TransTerrebonne passe sous la rue Urbanova (méchant nom...). C’est juste après cette artère, sur des voies cyclables enterrées de neige, que j’ai eu le plus de plaisir à descendre. Mais rien pour me donner envie de renouveler l’expérience.
Reste qu’on affaire à un coteau resté très sauvage où il y a moyen de faire une balade en forêt sur une paire de skis. Et c’est peut-être pour faire du ski-raquette que l’endroit présente le plus d’intérêt.
J’ai poussé mon exploration jusqu’à l’endroit où la TransTerrebonne passe sous la rue Urbanova (méchant nom...). C’est juste après cette artère, sur des voies cyclables enterrées de neige, que j’ai eu le plus de plaisir à descendre. Mais rien pour me donner envie de renouveler l’expérience.
Reste qu’on affaire à un coteau resté très sauvage où il y a moyen de faire une balade en forêt sur une paire de skis. Et c’est peut-être pour faire du ski-raquette que l’endroit présente le plus d’intérêt.
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