Je suis allé au mont Royal avec mes bon vieux skis
classiques aujourd’hui… et j’ai trouvé des sentiers tellement râpés et remplis
de feuilles que je suis retourné à mon auto après un petit kilomètre.
Avec la couverture de neige qui reste mince et les
nombreux skieurs qui arpentent le mont Royal, les conditions se sont vite
détériorées après la bonne bordée de neige qu’on a eu plus tôt cette semaine. C’était
encore skiable, certes. Mais pas à mon goût.
Heureusement, j’avais mes gros skis de randonnée dans
la voiture. Alors j’ai mis le cap sur le versant nord de la montagne pour faire
une randonnée sur le tronçon du chemin de ceinture nouvellement aménagé sur le flanc nord de la montagne.
C'est un sentier pédestre qui part du boulevard du mont Royal, monte en lacets à travers le boisée Saint-Jean-Baptiste, passe par un belvédère, puis mène jusque derrière l’école Polytechnique. En passant notamment sur cette passerelle incurvée...
J’ai bien fait. Il y avait encore de la poudreuse que les marcheurs n’avaient pas piétiné dans ce sentier aussi large et bien nivelé qu’une petite route, et j’ai fait une randonnée agréable sur mes gros skis.
C'est un sentier pédestre qui part du boulevard du mont Royal, monte en lacets à travers le boisée Saint-Jean-Baptiste, passe par un belvédère, puis mène jusque derrière l’école Polytechnique. En passant notamment sur cette passerelle incurvée...
J’ai bien fait. Il y avait encore de la poudreuse que les marcheurs n’avaient pas piétiné dans ce sentier aussi large et bien nivelé qu’une petite route, et j’ai fait une randonnée agréable sur mes gros skis.
Il fallait rester sur le
chemin de ceinture, par contre. Toutes les fois où je me suis aventuré dans des
petits sentiers adjacents, souvent en suivant les traces de skieurs passés
avant moi, j’ai écorché mes skis sur des roches et ou des souches.
En passant, je suis quand même allé inspecté l’ancienne
pente de ski alpin de l’université de Montréal, derrière le CEPSUM. Et j’ai
trouvé là beaucoup de traces de planches et de skis malgré la mince couverture
de neige... et même si c'est officiellement interdit de glisser là-dedans.
Ouverte en 1944, cette pente a été en opération
jusqu’en 1979. Les poteaux du remonte-pente et ceux qui soutenaient le système
d’éclairage de la piste sont tout ce qui reste de cette infrastructure qui
devrait toujours exister, si vous voulez mon avis.
C’est une sortie que j’ai faite pour la première fois l’an passé et que je vais sûrement refaire. Le chemin de ceinture ne fait
qu’un kilomètre et demi, mais en effectuant l’allez-retour et en prenant le
temps d’explorer, on peut faire une heure ou deux de ski dans ce coin-là sans s’ennuyer.
Je termine avec une photo d'archive qui donne envie d'être en 1978. Voici la piste du ski de l'UDM dans toute sa splendeur, cette année-là.
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